Body horror

Le monstre de Frankenstein est considéré comme l'un des premiers exemples de body horror.

Le body horror (littéralement « horreur corporelle ») ou biological horror (« horreur biologique ») est un sous-genre de l'horreur qui expose intentionnellement des violations graphiques ou psychologiquement perturbantes du corps humain[1]. Ces violations peuvent se manifester par des rapports sexuels jugés aberrants, des mutations, des mutilations, des zombifications, de la violence gratuite, des maladies ou encore mouvements non naturels du corps. Le body horror était à l'origine employé pour décrire un sous-genre des films d'horreur émergeant en Amérique du Nord mais ses racines remontent à la littérature gothique et sa définition a été élargie pour inclure d'autres médias[2].

  1. (en) R. A. L. Cruz, « Mutations and Metamorphoses: Body Horror is Biological Horror », Journal of Popular Film and Television, vol. 40, no 4,‎ , p. 160–168 (DOI 10.1080/01956051.2012.654521)
  2. (en) Halberstam, J. (1995). Skin shows: Gothic horror and the technology of monsters. Duke University Press.

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